Depuis plus d’un mois maintenant, ma poésie se cogne contre la violence de toute part et ne parvient pas à trouver mot pour transcrire tout ce qui la traverse, bouleverse, transperce.
Le moment viendra.
D’ici là, elle se replie dans les replis de l’amour, de la tendresse, de la sensualité.
Un diptyque douceur constitué de deux quintils, dont le premier adopte de faux airs de tanka (cliquer pour agrandir) :