S’il y a une activité à laquelle j’ai eu beaucoup de plaisir à m’adonner pendant mes déambulations malaisiennes, c’est la chasse au street art. En particulier à George Town où il y a vraiment matière à faire. Mais aussi à Ipoh et à Melaka.
En Malaisie, comme ailleurs, les murs ont certainement des oreilles. Mais ils ont surtout la parole dans leurs murmures, souffles et cris de couleurs. Les murs parlent et les pigments s’y accrochent comme du lierre …
George Town :
Ipoh :
Melaka :
Photo : Mariposa
(Charles Cham)
J’ai toujours aimé ces interventions dans les villes, il y a déjà longtemps, à Amsterdam ou Bruxelles où j’ai vécu dans un autre siècle…
Il s’agissait parfois de cache-misère ( et pourquoi pas d’ailleurs ), surtout de prise en mains radicale de l’environnement ( squats, communautés… )
Pour ma part, c’est un intérêt tout récent, qui date de quelques années. Mais depuis, je suis vraiment fan !