« Je songeai aux poèmes dans lesquels Hinnerk parlait de son village et où s’exprimait tout l’amour que lui inspiraient les lieux de son enfance. Cette enfance qu’il avait tant haïe.
J’en déduisis que l’oubli n’est pas seulement une forme du souvenir, mais que le souvenir est aussi une forme de l’oubli. »