Jusqu’à vendredi, le printemps commençait à se mêler à l’hiver dans le jardin :
Mais depuis hier, l’hiver est là, bien là, pour de bon :
Pétrifiée par les sortilèges du gel
La nature attend
Le baiser libérateur du soleil.
***
Assauts de Phébus
Délivrées de leur ceinture
les branches ruissèlent de plaisir.